32 Préludes (à Mademoiselle Lili)

32 Préludes (à Mademoiselle Lili)


Op. 119
1867
[ 4/5 ]

Dédicace : Mademoiselle Lili

Genre : Forme classique

Style : -

Tonalité : Diverses

Difficulté :

Editions :
Maho, J.M.710-711
Breitkopf, 11358-11359 (07/1867)
Chapell (1867)
Schirmer

Critiques; :

Partition(s)


Source(s) de la partition :
Internet Archive



Commentaires, Informations sur l'Oeuvre :


Annoncés en décembre 1868 comme une nouvelle parution chez Maho J.M.710, ces préludes sont dédiés à Mademoiselle Lili. Heller indique qu'il a pensé à la Lili de Goethe, étant enfant (Anne Elizabeth Schönemann (1758-1817)) et il en rend ainsi compte dans son titre et sa dédicace. Si Jean Martin a enregistré ces préludes, plusieurs amateurs et professionnels ont mis quelques interprétations de ces préludes sur Youtube (3,4,6, 14,15, 26, 30, 38)


Ces préludes sont des morceaux très courts, en général inférieurs à une page.

Ce sont des oeuvres aux tonalités et tempo divers :
1. Moderato, en Do
2. Andante con moto, en Do
3. Moderato, en La m
4. Assai lento La m
5. Allegretto vivo, en Sol
6. Allegretto, en Mi m
7. Allegretto scherzando, en Ré
8. Allegro, en Si m
9. Poco vivo, en Mi m
10. Moderato, en Si m
11. Andantino, quasi allegretto, en La
12. Piu Moderato, en Fa# m
13. Andantino, en Mi
14. Allegro vivace, en Mi
15. Moderato, en Do# m
16. Allegretto con grazia, en Fa
17. Allegro assai, en Ré m
18. Allegretto con grazia, en Fa
19. Allegro, en Fa
20. Scherzando, en Sib
21. Con moto, en Sol m
22. Andantino, en Sol m
23. Allegro ma non troppo, en Sol m
24. Allegretto vivo, en Mib
25. Poco lento, en Do m
26. Moderato, en Mib
27. Allegro caratteristico, en Do m
28. Allegretto con espressione, en Do
29. Andantino, quasi allegretto, en Lab
30. Allegro ma non troppo, en Fa m
31. Allegretto poco animato, en Sib m
32. Allegretto vivace, en Mib

Voici ce qu'en écrit Barbedette :

C'est de l'imperceptible comme proportion, et pourtant comme cela est charmant de pensée, délicat de forme, plein d'invention ! Mais combien peu comprendront ce qu'il y a d'art et de véritable poésie dans toutes ces petites pages si finement écrites, et combien, même parmi les admirateurs sincères de Heller, préféreront les oeuvres 49, 79 et 81, moins raffinées, plus corsées et plus vigoureuses !