Rêveries du promeneur solitaire

Rêveries du promeneur solitaire


Op. 058
1847
[ 3/5 ]

Dédicace :

Genre : Morceau à programme

Style : -

Tonalité : Si m et Si M

Difficulté :

Editions :
Schlesinger S.3416 (01/1848)
Brandus 4746 (1847)
Wessel (1847)
Joubert

Critiques; :
Fétis, 1855

Partition(s)


Source(s) de la partition :
Henselt Library



Commentaires, Informations sur l'Oeuvre :


Cette oeuvre s'inspire de l'oeuvre éponyme de Jean-Jacques Rousseau. La partition cite l'extrait suivant : En voulant me rappeler tant de douces rêveries
Au lieu de les décrire, j'y retombais.

Selon Fétis, cet épigraphe explique 'comment, au milieu de la vague pensée qui erre dans ce morceau, les premières phrases reparaissent tout à coup sans que leur retour soit la conséquence logique d'un plan. Il y a beaucoup d'originalité et de charme dans ce retour inopiné d'une idée qui s'égare ensuite dans des développements capricieux.'

Heller réutilisera ce titre pour son op.101 et s'inspirera encore de Rousseau dans ses Promenades d'un solitaire, op.78 et les tablettes d'un solitaire, op.153. Heller partage sans doute un peu le sentimentalisme de Rousseau.

Cette oeuvre fut publiée en 1847 comme l'indique la Revue et Gazette Musicale de Paris.